Comment soutenir Accolade ?

Il existe différentes manières de nous soutenir !

1. ADHÉRER : Vous êtes parent, grand-parent, jeune patient ou proche ? Adhérer vous permet d’être membre et de participer à la vie de l’association !

2. DEVENIR BÉNÉVOLE : Vous êtes sensibles à cette cause et vous souhaitez vous investir, vous engager sur des actions près de chez vous ?

3.ÊTRE PARTENAIRE : Vous représentez une association, une collectivité, une entreprise, une institution, et vous souhaiter partager une action, un projet…

4. FAIRE UN DON

A propos de vos dons, comment sont-ils utilisés ?

Chaque don est employé pour un projet ou une action. Vous pouvez retrouver 6 de nos actions actuelles qui nécessitent un financement. L’organisation interne de l’association ne nécessite pas d’utiliser les dons car chacun est bénévole. Certaines actions se déroulent à l’hôpital, d’autres lors du retour à domicile. Vous pouvez préciser lors de votre don l’action à laquelle vous souhaitez contribuer.

Les valisettes

 C’est une action de soutien et de réconfort en direction des familles et des enfants hospitalisés. Le principe est simple :  une valise contenant des objets utiles et des informations aux familles lors de leur première hospitalisation et de l’annonce du diagnostic. Un plaid, des jeux, des livrets d’information pour les parents, une veilleuse, un chargeur universel, un doudou…les valisettes contiennent un peu de réconfort.

LES PERMANENCES

Toutes les deux semaines, des membres d’Accolade qui sont des parents concernés tiennent des permanences dans la salle des parents. Que ce soit autour d’un café en après-midi ou en dégustant une pizza en soirées, ces moments d’écoute sont essentiels. Un moment simple et convivial pour échanger entre parents. Cela permet d’aborder des questions relatives à la vie à l’hôpital et de discuter de nos enfants.

 

LES SÉANCES DE SOCIO-ESTHETIQUE

Mélanie AGEZ, Socio-esthéticienne, intervient auprès des enfants et adolescents au Centre Oscar Lambret. Les témoignages des parents et jeunes patients sont très positifs.

Les très jeunes enfants âgés de quelques mois, bénéficient de massages appelés plus communément des effleurages, pour la détente occasionnée.

Cela leur permet d’aborder un soin médical plus sereinement car les muscles sont relâchés, ou encore ils retrouvent un calme après un soin intrusif parfois douloureux et perçu comme oppressant.

Ces jeunes patients souffrant depuis des mois, des années, subissent des ponctions lombaires, des myélogrammes et autres thérapeutiques lourdes qui marquent leur esprit définitivement. La mémoire est touchée par la douleur et il est difficile de cicatriser. Ainsi, le toucher devient difficile, ils l’abordent avec frayeur et appréhension.

La socio-esthétique les aide à se réconcilier avec ce toucher, et par cela même avec leur corps fragilisé, tatoué des méfaits.

Les jeunes enfants de 3 à 6 ans souhaitent souvent des manucures, agrémentées de vernis sur les ongles pour être aussi jolies que maman, jusqu’à en oublier qu’elles sont à l’hôpital. Lors du soin, certaines posent des questions de curiosité et d’intérêt, le soin terminé, les petites filles retrouvent le sourire, s’échappant du rituel médical, grâce à l’embellissement de leur main et au paraître mis en exergue.

Hospitalisés longuement, parfois en chambre stérile, les sentiments des jeunes patients sont exacerbés par leur fragilité physique et psychologique. Le moindre évènement futile pour nous, est essentiel voire vital pour l’enfant malade et cloisonné. Leur vie paraît s’être arrêtée aux portes de leur chambre.

Certains patients découvrent les soins esthétiques et y prennent goût rapidement car ce sont des instants ludiques (conseils beauté), des jeux de couleurs (maquillage), des sens attisés (odeurs, textures des crèmes), et en redemandent lors de mes visites suivantes, à travers les différentes prestations proposées.

Ces instants de partage et d’écoute sont propice à des confidences.

En les accompagnant de mes mots, de ma présence, ils prennent confiance en une personne étrangère à leur histoire, évitant au mieux le jugement, répondant à des demandes ou attentes spécifiques; détente, relaxation, réconfort, distraction…

C’est aussi leur redonner l’espoir que la perte de cheveux n’est pas une fin en soi, qu’ils sont capables de s’aimer et être aimés malgré la maladie et les traitements.

La socio-esthéticienne donne des conseils pour porter des prothèses capillaires, turbans, foulards et faire en sorte d’être en adéquation avec une mode vestimentaire évolutive dont les jeunes sont très friands.

Profiter d’être à l’hôpital pour apprendre, devient plus attirant, moins ennuyeux, les jeunes patients ont le sentiment de perdre moins leur temps; ils ne subissent plus, ils deviennent acteurs.

LES SORTIES FAMILLES

Deux fois par an, Accolade organise des sorties familles telles que le Parc d’Olhain, Naussicaa, etc…Cette action se fait en partenariat avec la ‘Mi-temps des parents ». C’est l’occasion de passer un moment de détente en famille et de rencontrer d’autres parents en dehors de l’hôpital.

LA MALLE DE SOPHIE

C’est une pièce de théâtre dont le sujet est la maladie. C’est l’histoire de Sophie, 11 ans, qui tombe malade. Cette pièce sonne juste. Et pourtant, on rit, aussi…C’est un support que nous utilisons avec des partenaires tels que des Centres Sociaux, des médiathèques, des universités, etc…afin de sensibiliser. La pièce est suivie d’échanges avec le public et de témoignages de parents. Accolade finance  ces actions de sensibilisation.

LES ACTIONS DE SOLIDARITÉ

Aide financière pour les obséques, pour des frais de prothèses ou des soins de confort…Accolade se mobilise pour que chacun puisse faire son chemin dignement.

Devenir bénévole

Là encore, plusieurs manières d’être utile à l’association, qu’il s’agisse de tenir un stand, intervenir auprès de publics, représenter Accolade lors d’une rencontre ou participer aux instances. Vous avez envie de vous impliquer ? Nous pouvons en discuter, car chacun peut apporter en fonction du temps disponible, des compétences et des envies de chacun.

Pour être membre ou bénévole, il faut être adhérent. L’adhésion est de 5€. Elle couvre notamment les frais d’assurances.